mercredi 19 octobre 2016

Trois raisons d’aller écouter Leyla McCalla

Photo Sarrah Danziger
Folk cajun et violoncelle, formule inédite inventée par cette nouvelle étoile de la renaissance créole.





1. Magie du folk créole
Bayou louisianais, folklore haïtien, formation classique : le secret de Leyla McCalla est cette triple distillation des sources musicales. Débuts confidentiels au seul des Carolina Chocolate Drops. Violoncelliste de formation, elle quitte New York pour La Nouvelle-Orléans. Alors seule dans les rues de Crescent City, elle joue des suites de Bach.


2. Poésie des origines
C’est dans la rue que la jeune Haïtienne concocte son nouveau son, en chantant les poèmes de Langston Hughes (1902-1967), leader de la Harlem Renaissance.



3. Beauté superscénique
Illuminant ces poèmes de folk et blues, elle se produit sur scène avec violoncelle, banjo et pedal steel guitar. Découverte à Jazz sous les pommiers, après un rodage parisien, elle s’offre même un mini-tube blues, A Day For the Hunter, a Day for the Prey, extrait de l’album qui porte le même nom.



Mardi 22 novembre à 21 h. 20 €/18 €. Salle Paul-Fort, 9, rue Basse Porte, 44 000 Nantes.
T. 02 51 72 10 10

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